J-L. Marquet aux côtés de Cyrille Guédon fait la présentation devant le site qui appartient à l’APHL, l’association des Amis du patrimoine en Horte-et-Lavalette. (Photo B. C.)
Après la grande tempête, une nouvelle activité a vu le jour : l’aménagement et l’entretien des espaces verts.
25 personnes en insertionDans le cadre des spectacles donnés au château, il existait un atelier costume, lequel a été par la suite développé permettant ainsi d’accueillir des femmes en insertion. Ce sont donc cinq encadrants qui forment 25 personnes en insertion : le directeur, Cyrille Guédon, la conseillère, Murielle Demarly, Nicolas Rullier qui suit dix personnes dans l’activité bâtiment, l’encadrant espaces verts en cours de recrutement qui aura également dix employés à sa charge et Sabine Lebœuf à la tête de cinq couturières.
« Comme nous sommes un organisme d’intérêt général, ce qui nous a été confié est une mission d’insertion. Nous avons des financeurs, l’État bien sûr, mais surtout le Conseil général (environt 20 % du budget est autofinancé). Nous sommes tenus à des résultats, ce qui n’est pas évident dans la conjoncture actuelle. Ce sont 10 à 15 % de résultats positifs. Mais il faut bien dire que le bilan humain est difficile à établir, alors que c’est dans ce domaine que le chantier d’insertion est utile », ont précisé le directeur, Cyrille Guédon, et le président, Jean-Luc Marquet.
Immersion en entreprise« L’APHL n’a de cesse de chercher des actions pour aller de l’avant : récemment l’immersion en entreprise a été expérimentée, ce qui permet le dialogue avec les entrepreneurs », a ajouté Murielle Demarly.
Après cette présentation, les membres de l’Université de pays ont été invités à se rendre sur les chantiers en cours : la restauration du pavage en pierre de taille de la fontaine légendaire de Ronsenac, la réhabilitation de la ferme du château de la Mercerie et des plantations de haie à Fouquebrune. Chacun a pu constater le beau travail réalisé et que la réputation de l’APHL n’était plus à faire.